Ils, ce sont ces 0,01% de la population qui s'enrichissent tous les ans un peu plus sur le dos du reste de la population, qui
s'enrichissent sur le travail des autres. et leurs collaborateurs, les Sarkozy, Ravignon et autres compères,
La sécurité sociale, elle appartient bien à ceux qui travaillent : c'est le principe de notre système de protection sociale
solidaire avec des cotisations fondées sur le travail et des prestations en fonction des besoins.
En vingt ans la part dans la richesse produite allant aux salaires et à la protection sociale a baissé de 8%, 8% de plus
allant aux profits et à l'investissement (mais surtout aux profits, car ils freinent les investissements). Cela représente quelque chose comme 180 milliards d'euros par an de plus pour leurs
profits, de quoi boucher quelques trous de la sécu !
Mais ce n'est pas encore assez pour eux : il faut moins de rembousements, moins de soins.
Mais c'est toucher une corde sensible ... Ils n'arrivent pas à rogner assez.
Alors il faut aussi rogner sur l'organisation de la sécu, réorganiser, comme on dit maintenant pour mettre un rideau de fumée
devant la réalité : la réduction du service.
Apparemment, la réorganisation de la sécu est lancée dans le département : Givet, Monthermé ...
Provisoirement, on va laisser un accueil du public, mais sans l'infrastructure qui permet de répondre véritablement aux
besoins : un nouveau rideau de fumée.
Et si ça plus ça plus ça, ça faisait partir les gens vers les banlieues des grandes villes, ca pourrait peut être faire des
économies encore plus importantes de services publics : c'est tout ce qui les intéresse ! La qualité de vie du peuple, c'est pas ça qui arrange leurs profits !
Ils vont venir nous pleurer leurs larmes de crocodiles.
Sans doute aussi le député de la circonscription, qui hésite ... Il n'a pas approuvé le traité Sarkozy Merkel, mais ne s'y
est pas opposé non plus. C'est pourtant un traité qui organise l'austérité pour les peuples au service des puissants.
Au nom de la raison ...
Et si tout simplement, au nom de la raison, le peuple prenait la place qui est la sienne.
Par exemple, il paie par son travail la sécu. C'est donc à lui de la gérer. C'est ce que demandent les communistes avec le
Front de Gauche : que les administrateurs de la sécu soient élus par les salariés.