26 octobre 2008
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En Haute Savoie, il est allé parler de ses mesures pour préserver le développement économique dans la crise.
Ici, il vient parler fusion ANPE ASSEDIC et mesures pour les chômeurs : est ce à dire qu'il considère que les Ardennes sont un département économiquement mort et qu'il faut juste s'occuper des demandeurs d'emploi pour que cela ne coute pas trop cher et pour les aider, éventuellement, à quitter le département ! La symbolique des déplacements du chef de l'Etat traduit une conception dévastatrice de l'aménagement du territoire.
Après Glaverbel, Thomé Génot, Lenoir et Mernier/LCAB et tant d’autres, c’est maintenant la fermeture de la SOPAL à Givet qui est annoncée, alors que le chômage partiel se développe à Citroën aux Ayvelles et ailleurs.
Ce sont des emplois qui sont nécessaires, pas le traitement du chômage, surtout celui fait par N. Sarkozy !
Dans les Alpes, N. Sarkozy a annoncé la semaine dernière une série de propositions censées soutenir l’économie. Derrière ce faux volontarisme se cache une vraie attaque contre les collectivités territoriales. Sous couvert d’encadrement du libéralisme, il réalise le voeu le plus cher des libéraux, celui de mettre fin à la taxe professionnelle, une des principales ressources des collectivités. Sauf que le résultat est déjà connu pour avoir déjà été tenté en temps de crise. Cela ne modifiera pas en profondeur les ressorts actuels à l’oeuvre dans la crise du capitalisme. Dès l’annonce, l’échec est omniprésent.
De plus, la création d’un « fond d’investissement stratégique » n’est rien d’autre qu’un instrument de plus pour participer à la guerre économique mondiale, c’est-à-dire précisément encourager le système qui conduit le monde au bord du gouffre. La décision de se livrer à une course à l’armement financier, en s’exonérant du contrôle démocratique, et en s’attaquant à tout ce qui relève de l’action publique est potentiellement dangereux. Nicolas Sarkozy a beau joué le volontarisme, son remède est pire que le mal.
Venez nombreux à Rethel mardi lui dire votre mécontentement. Il y a un car au départ de Givet, Revin, Charleville Mézières : renseignement au 03 24 56 40 43.
Ici, il vient parler fusion ANPE ASSEDIC et mesures pour les chômeurs : est ce à dire qu'il considère que les Ardennes sont un département économiquement mort et qu'il faut juste s'occuper des demandeurs d'emploi pour que cela ne coute pas trop cher et pour les aider, éventuellement, à quitter le département ! La symbolique des déplacements du chef de l'Etat traduit une conception dévastatrice de l'aménagement du territoire.
Après Glaverbel, Thomé Génot, Lenoir et Mernier/LCAB et tant d’autres, c’est maintenant la fermeture de la SOPAL à Givet qui est annoncée, alors que le chômage partiel se développe à Citroën aux Ayvelles et ailleurs.
Ce sont des emplois qui sont nécessaires, pas le traitement du chômage, surtout celui fait par N. Sarkozy !
Dans les Alpes, N. Sarkozy a annoncé la semaine dernière une série de propositions censées soutenir l’économie. Derrière ce faux volontarisme se cache une vraie attaque contre les collectivités territoriales. Sous couvert d’encadrement du libéralisme, il réalise le voeu le plus cher des libéraux, celui de mettre fin à la taxe professionnelle, une des principales ressources des collectivités. Sauf que le résultat est déjà connu pour avoir déjà été tenté en temps de crise. Cela ne modifiera pas en profondeur les ressorts actuels à l’oeuvre dans la crise du capitalisme. Dès l’annonce, l’échec est omniprésent.
De plus, la création d’un « fond d’investissement stratégique » n’est rien d’autre qu’un instrument de plus pour participer à la guerre économique mondiale, c’est-à-dire précisément encourager le système qui conduit le monde au bord du gouffre. La décision de se livrer à une course à l’armement financier, en s’exonérant du contrôle démocratique, et en s’attaquant à tout ce qui relève de l’action publique est potentiellement dangereux. Nicolas Sarkozy a beau joué le volontarisme, son remède est pire que le mal.
Venez nombreux à Rethel mardi lui dire votre mécontentement. Il y a un car au départ de Givet, Revin, Charleville Mézières : renseignement au 03 24 56 40 43.