6 avril 2008
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Suite aux différents mouvements des jeunes, dénonçant la multiplication des stages dans lesquels ils rendent de véritables services à leurs
employeurs, sans en tirer un quelconque centime, le gouvernement a été obligé de créer une obligation à gratification pour
tout stage de plus de trois mois.
Un décret paru le 1er février applique cela aux étudiants en travail social, sauf que cela ne s'applique pas lorsque le stage est fait dans un établissement public ! Première duplicité du gouvernement.
Deuxième duplicité : le gouvernement a décidé, mais fait payer les autres ! Ce serait de bon goût si les employeurs concernés étaient ceux du CAC40. Mais ce n'est pas le cas. La majorité sont des établissements à but non lucratif et ne peuvent donc prendre ces gratifications sur leurs profits !
Un décret paru le 1er février applique cela aux étudiants en travail social, sauf que cela ne s'applique pas lorsque le stage est fait dans un établissement public ! Première duplicité du gouvernement.
Deuxième duplicité : le gouvernement a décidé, mais fait payer les autres ! Ce serait de bon goût si les employeurs concernés étaient ceux du CAC40. Mais ce n'est pas le cas. La majorité sont des établissements à but non lucratif et ne peuvent donc prendre ces gratifications sur leurs profits !
Pour l'instant, le résultat, c'est que les études de ces jeunes sont en péril,
car ils ne trouvent plus de terrain de stage.
Il faut que l'Etat débloque des fonds et les mutualise dans un organisme tiers paritaire (avec les
représentants des organisations syndicales et des étudiants) afin de couvrir les besoins de tous les stagiaires sur tout le territoire.
car ils ne trouvent plus de terrain de stage.